BIENNALE DES ARTS DE LA SCÉNE EN MÉDITERRANÉE

Du 06 au 22 novembre 2025

BIENNALE DES ARTS DE LA SCÉNE EN MÉDITERRANÉE

Initiée par le Théâtre des 13 vents CDN Montpellier et portée par un ensemble de partenaires culturels à Montpellier et à l’entour, la Biennale des Arts de la Scène en Méditerranée réunit du 6 au 22 novembre 2025 des artistes et des équipes artistiques travaillant sur les rives de la Méditerranée.

Imaginée comme un lieu de partage des œuvres et de la pensée, la Biennale propose un programme de spectacles, d’ateliers, de rencontres et de lectures, mêlant théâtre, danse, musique, cirque, écritures contemporaines. 

Comme un grand animal obscur 
de Clément Bondu 

Le 12 novembre à 19H30               
à la librairie Le Grain des mots
Rencontre à l’occasion de la sortie de son roman  

Ébloui par le soleil, un homme précipite sa voiture dans un ravin. Il en réchappe, fortement troublé, et se met à marcher, sans idée précise, cherchant à retrouver ses esprits. Une marche comme une longue traversée des paysages de la rive nord de la Méditerranée devenue la proie des flammes et d’un soleil de plomb.

Retrouvez également un texte de Clément Bondu : Le rêve d’Elektra le 19 novembre à 20H
au Centre Culturel Léo Mallet Mireval  – Spectacle proposé par le Théâtre Molière de Sète
 
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Dessin d’un renard blessé
d’Oriol Puig Grau
 
Le 20 novembre à 19H   
au Théâtre des 13 vents 
en collaboration avec La Chartreuse et la Maison Antoine Vitez
 

Après avoir découvert l’autoportrait d’un peintre disparu, Ferran s’immerge dans la vie en ligne de l’artiste, explorant les vestiges d’une existence passée jusqu’à s’y confondre.

Dessin d’un renard blessé questionne l’obsession, l’identité et la frontière entre réalité et illusion. Une quête de sens et de soi.

Lecture en espagnol par l’auteur et en français par Béla Czuppon
 
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Le mur ou l’éternité d’un 
massacre d’Hatem Hadawy
 
Le 21 novembre à 19H
au Théâtre des 13 vents  
 

Dans une ville syrienne sur le point de tomber, quatre activistes – des civils retranchés – tuent le temps comme ils peuvent : en se souvenant, en parlant pour ne pas se taire. Ils s’accrochent à des souvenirs, à l’humour, à la radio. À mesure que l’assaut approche, la langue s’effrite. Les combattants n’ont bientôt plus de mots… Jusqu’où le langage peut-il suivre et dire l’indicible ?

En collaboration avec La Chartreuse et la Maison Antoine Vitez           
 

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